Monsieur,
Je soutiens votre cause et notamment votre réction après le procès du 4 octobre de Dinan, celui où la salle vous applaudissait quand le juge fulminait, ainsi que l'a constaté la presse. Vous êtes obligé de mener un bien lourd combat judiciaire.
J'espère que nous pourrons défendre nos valeurs communes de responsabilités parentales, et que nous pourrons demain disposer d'une justice familiale enfin digne de nos idéaux républicains, respectant mieux les prérogatives parentales et le besoin, pour tout enfant d'être éduqué par deux parents également respectés, qu'ils soient unis ou séparés.
Avec tous mes encouragements.
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