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COMMUNIQUE DE PRESSE, 22 novembre 2003
Alain Guillou, vice-président

COMMUNIQUE DE PRESSE, 22 novembre 2003


Je vous prie de trouver copie du courrier adressé au Ministre de la Justice par Pascal Dazin, président de notre association " l'Alphabet du Respect des Enfants ", qui sera condamné mercredi prochain à 10 heures en cour d'appel de Rennes sous prétexte d'outrage à magistrats.

Il y a deux ans, Pascal Dazin a simplement énoncé par un écrit ce qu'il a subi durant douze ans par acharnement d'une certaine justice dite " familiale " contre sa vie de famille, sa vie professionnelle et ses activités associatives .

Ces dernières, méritoires et très connues dans la société civile, ne le sont pas moins par le groupe de pression judiciaire, et sont décidément trop dérangeantes.

C'est exactement le même lobby, au même endroit, qu'il appelle " l'étouffoir " de la cour d'appel de Rennes, qui va à nouveau le " marquer au fer rouge ", comme osa le déclarer sans vergogne un avocat, ou " le massacrer ", comme l'en avertit un autre Pascal Dazin sera condamné et puni par ce type de magistrat qui osa jadis lui intimer l'ordre suivant : " laissez-vous faire, c'est un jeu ", avant qu'il ne rencontre, l'an dernier, la chef de bureau des Affaires Civiles et du Sceau (en ma présence) qui de son côté lui déclara : " ma dernière décision a entraîné un meurtre et un suicide, mais je n'ai aucun état d'âme . De votre vivant, rien ne changera".

Ce ne sera pas un simple écrit privé qui fera condamner Pascal.

Il le sera pour l'énorme travail réalisé durant treize ans au service de milliers de personnes désorientées par une justice outrepassant ses missions cardinales, pour ses idées alternatives sociales et apaisantes, ses propositions modérées, préventives au soutien d'une véritable politique de neutralité familiale bienveillante.

Il le sera parce que, comme lui déclara une juge rennaise : " vous voulez nous retirer le pain de la bouche ".

Il le sera également pour avoir énoncé sans peur et sans reproche quels abus de pouvoirs et violences institutionnelles il a lui-même subi en douze années de résistance, tentant d'aider sa propre famille et les adhérent(e)s de notre association.


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